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15/01/2003 Le Bois Construction - les élus Haut- Alpins en débattent
Pour cela, la réunion a été émaillée de plusieurs interventions du Comité National du Bois (CNDB) représenté par Jean-Marie Haquette, de FIBOIS04/05, représentés par Laurent Anglésio et Christelle Vergnet, du Conseil d'Architecture d'Urbanisme et d'Environnement (CAUE), représenté par M. Gertoux. On notait aussi la présence de Gérard Lartigues responsable de la réglementation construction ou de Jean François Hahn, Maire d'Agnières en Dévoluy.
La formation s'est déroulée au Foyer Culturel de l'Argentière. Une formation pourquoi ? Pour un développement durable, pour lutter contre l'effet de serre, pour une utilisation plus rationnelle de l'énergie, pour vivre dans le respect de la qualité. « Nous sommes au cœur du débat en étant abrités par cette réalisation de type charpente lamellé-collé » a remarqué Joël Giraud député-maire, de l'Argentière-la-Bessée, en évoquant le foyer culturel.
Le Comité National pour le Développement du Bois, les représentant de la filière bois et le CAUE ont répondus aux questions des élus. Après avoir élaboré puis dépouillé un questionnaire envoyé fin août 2002 auprès de 177 communes des Hautes-Alpes, 53 réponses (soit 30%) ont été reçues et une douzaine de projets sont identifiés.
Parmi les préoccupations ou les réticences, les intervenants constatent certaines idées reçues. « Tout d'abord le bois est un matériau très stable au feu. La structure bois est un atout de sécurité pour les bâtiments publics », a précisé Jean-François Hahn, maire d'Agnières en Dévoluy et Vice-Président de l'Association des Communes Forestières. La mobilisation du bois dans la construction permet également de lutter contre l'effet de serre.
« Il nous faut créer des liens pour être efficace » a alors souligné Jean-Marie Haquette du CNDB.
Etait également prévue lors de cette réunion, une rencontre avec Louis Chiorino, compagnon fort connu pour la défense des métiers du bois. « Ce savoir ne m'a jamais abandonné », a-t-il révélé.
L'après-midi s'est poursuivie avec la visite d'une entreprise bois. « Les maisons ossature bois sont de plus en plus demandées », concluait M. Boulot, charpentier-entrepreneur.
Marie-France FONTAINE – vendredi 10 janvier 2003.
La formation s'est déroulée au Foyer Culturel de l'Argentière. Une formation pourquoi ? Pour un développement durable, pour lutter contre l'effet de serre, pour une utilisation plus rationnelle de l'énergie, pour vivre dans le respect de la qualité. « Nous sommes au cœur du débat en étant abrités par cette réalisation de type charpente lamellé-collé » a remarqué Joël Giraud député-maire, de l'Argentière-la-Bessée, en évoquant le foyer culturel.
Le Comité National pour le Développement du Bois, les représentant de la filière bois et le CAUE ont répondus aux questions des élus. Après avoir élaboré puis dépouillé un questionnaire envoyé fin août 2002 auprès de 177 communes des Hautes-Alpes, 53 réponses (soit 30%) ont été reçues et une douzaine de projets sont identifiés.
Parmi les préoccupations ou les réticences, les intervenants constatent certaines idées reçues. « Tout d'abord le bois est un matériau très stable au feu. La structure bois est un atout de sécurité pour les bâtiments publics », a précisé Jean-François Hahn, maire d'Agnières en Dévoluy et Vice-Président de l'Association des Communes Forestières. La mobilisation du bois dans la construction permet également de lutter contre l'effet de serre.
« Il nous faut créer des liens pour être efficace » a alors souligné Jean-Marie Haquette du CNDB.
Etait également prévue lors de cette réunion, une rencontre avec Louis Chiorino, compagnon fort connu pour la défense des métiers du bois. « Ce savoir ne m'a jamais abandonné », a-t-il révélé.
L'après-midi s'est poursuivie avec la visite d'une entreprise bois. « Les maisons ossature bois sont de plus en plus demandées », concluait M. Boulot, charpentier-entrepreneur.
Marie-France FONTAINE – vendredi 10 janvier 2003.
